Cet Edito sera un peu différent.
Faire un résumé du contexte actuel serait inutile tant les médias nous submergent d'informations sur cette crise.
Nous le savons, la situation est exceptionnelle, unique et difficile. Tant de questions sans réponses se posent, les inégalités se creusent, la précarité augmente pendant que la vie est mise sur pause. Au vu de cette période invraisemblable, il nous paraissait évident de consacrer le dernier numéro de l'année à ce virus et ces conséquences. Par ce numéro, nos rédacteurs ont tenté de mettre en lumière les différents problèmes que révèle cette crise sur notre société. Mais ils ont aussi tenté d'apporter un peu d'espoir dans cet avenir incertain en tentant d'entrevoir le futur de cette crise, et peut-être d'y voir une chance de se reconstruire, mieux qu'avant…
Mais ce numéro est également le dernier numéro du bureau de 2019-2020. Après une année forte en émotion – bien qu’écourtée - il est grand temps pour nous de faire nos adieux et de passer la torche aux plus jeunes.
Cet Edito est ainsi un remerciement.Pour tous nos rédacteurs tout d'abord, qui étaient toujours aussi motivés, avec toujours autant de sujets intéressants, et toujours aussi nombreux même enfermés aux quatre coins de la France.Un merci également aux correcteurs qui nous ont permis d'éviter un maximum de fautes, même si nous le savons nous n'avons pas été irréprochables sur ce point. On remercie aussi notre belle maison et sa reprographie, sans qui le journal ne pourrait exister en format papier et être gratuit. Et enfin, un grand merci à vous tous, les lecteurs, toujours au rendez-vous, avec vos critiques constructives nous aidant à améliorer ce journal d’années en années.Enfin, nous voulons souhaiter bonne chance au nouveau bureau qui, on le sait, saura garder l'essence de ce journal en y apportant leur propre touche.Le Bureau voulait donc tous vous remercier et vous tirer sa dernière révérence.
La bise controversée.
Par le bureau Controverses
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