Les nouvelles apocalyptiques nous parviennent de toute part. Notification d’un article du monde « une espèce disparaît toutes les vingt minutes ». Dernier tweet en tendance « plus que 17 mois avant que la planète ne s’effondre ». Fake news, exagération marseillaise ou fait véridique, dans tous les cas, ça fait peur. Et une vraie question demeure : pourquoi on ne fait rien ? Pourquoi les dirigeant restent inactifs, se voilant la face devant des faits dénoncés par les scientifiques depuis des années ?
Nous sommes ce que beaucoup appellent « la génération climat ». Avez-vous remarqué que la grande majorité des pubs pronant le changement écologique prennent des enfants comme modèles ? Notre génération est celle qui a été missionnée – de gré ou de force - pour « changer les choses ». Et il est devient de plus en plus indéniable que, des étudiants aux collégiens, nous millennials sommes définitivement plus engagés que les dirigeants dans le changement. Bien que nous ne soyons pas les décisionnaires – pour l’instant du moins – il n’en reste pas moins évident pour tous que nous sommes les plus actifs quand on parle de « sauver la planète ». Passage au véganisme, tri des déchets, marches pour le climat. Selon Youth Climate les manifestations de jeunes se déroulent régulièrement dans plus de 200 pays différents. Qu’en est-il du nombre, ridicule en comparaison, d’actions prisent par les acteurs mondiaux ? Face à des « adultes » inactifs, notre cri d’appel retenti désormais de plus en plus fort dans les rues et sur toutes les plateformes permettant de le relayer, de l’amplifier.
Ainsi il est temps de se lever, toujours plus nombreux, toujours plus actifs. Il est temps que notre voix s’élève encore plus fort que lorsque l’on entonne un chant criteux ; et qu’enfin, les choses bougent. «Le changement c’est maintenant», il semblerait que ce soit à nous de mettre cette promesse à exécution.
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