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Photo du rédacteurAlbert Controverses

L’ASSO DU MOIS : Le club Oenologie

Dernière mise à jour : 24 mars 2020

« Pour ne pas sentir l’horrible fardeau du temps qui brise vos épaules, il faut s’enivrer sans trêve. De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous ! » Charles Baudelaire.


Mardi soirs, jeudi soirs, apéros, befores, afters, verres en terrasse : l’alcool rythme vos vies à Sciences Po au point de peut-être perdre la maîtrise de sa consommation. Il ne vous aura pas échappé que, pour beaucoup d’entre nous, s’amuser en soirée sans un petit vodka pomme au préalable est presque impossible. En témoigne la soirée Beaujo où les pompiers ont été nos invités d’honneur.


Il existe pourtant d’autres façons de consommer de l’alcool sans se mettre en danger et en l’appréciant à sa juste valeur. C’est le combat du Club Oenologie depuis des années maintenant. Contrairement aux préjugés sur notre belle association, notre but est de rendre le bon vin accessible à tous à travers des dégustations mensuelles. Si l’on peut croire que ces petites soirées se finissent en débauche : que nenni. Elles visent à partager un moment convivial autour de bonnes bouteilles de vin présenté par notre cher caviste professionnel et diplômé, Julien.





C’est aussi un moment pour apprendre à boire correctement, à mille lieues de la traditionnelle Sobieski Monoprix qui rythme les débuts de soirées (dès 20h, on vous voit): un moment pour boire comme des adultes, comme des bons vivants, comme des épicuriens. Finalement, c’est aussi une ode à la culture française et à ses vignes, au savoir-faire ancestral de nos vignerons et aux beaux cépages qu’abrite notre pays. Et oui, le vin ce n’est pas qu’une histoire de trouver la bouteille la moins chère à ramener à l’apéro de votre AS. C’est aussi une question d’arômes, d’odeurs, d’assemblement de cépages et d’accord entre les mets et les vins.


Boire du vin est un véritable art français. Le boire en quatre gorgées dans un gobelet en plastique rend peu honneur au véritable travail d’orfèvre auquel s’attellent des vignerons qualifiés et passionnés par cet univers. Ainsi, que vous soyez curieux, lassés du Roche-Mazet à 3€ ou bien simplement envieux de jouer à l’adulte, venez nous rejoindre lors d’une dégustation pour enfin aimer le vin et l’apprécier à sa juste valeur.


On vous rappelle évidemment que l’alcool, que ce soit de bon verres de vin ou une bouteille de Malibu, se consomme avec modération.


Article rédigé par le bureau : Zoé Bailly, aidée de Juliette Fontaine, Camille Jallet, Lisa Langomazino et Marie Beaudemoulin

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